Accueil(2/5) constellation du guerrier, mars.
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(#) Mar 18 Oct - 11:54
(#) constellation du guerrier — enfants de mars.
(2/5) personnages pris, négociations open.
guerre — (F) @anke feuerhart, supernova.
La tête de l'hydre depuis trop de siècles, jonchant la constellation d'un paradoxe infini, ses pensées sont fouillis permanent et paradoxes incessants. Tantôt soeur tantôt mère, tantôt rêve tantôt cauchemar, intraitable lorsqu'il s'agit de rendre grâce à celui qui leur a donné (nouvelle) vie.
infos ; révolutionnaire (cancer), eva green.
révolte — (F) aspasia (réservée), aster.
Enfant de la guerre, née pour suivre les pas de celleux qui prennent les armes. Formatée pour rejoindre une cause qu'elle embrasse sous l'aurore sanglante de sa mère. Le deuil d'un frère a fendu l'âme en deux.
infos ; révolutionnaire (rôleauchoix), jeune aster, autrefois étoile filante, faceclaim au choix.
conquête — (H) orpheas, aster.
Ombre de la guerre, l'ambition qui se gangrène sous le derme, une utopie rouge, pourfendue de souffrances. Le pas vers l'horreur, celui qui creuse les tranchées, qui fermente sur le cuir de celleux qu'il ensevelit. Déraison personnifiée.
infos ; révolutionnaire (rôleauchoix), faceclaim difficilement négociable (james mcavoy, colin farrell..)
paix — (F) io, aster.
Lumière du champ de bataille, souffle de calme lorsque les épées ne percent plus les boucliers. La splendeur des compromis et la caresse d'une brise sereine. Le pas vers la splendeur, celui qui serre la main de l'ennemi.e, qui pardonne et presque oublie.
infos ; possible traditionaliste (rôleauchoix), faceclaim au choix.
victoire (H) silas, aster.
Le pont entre les opposé.es, entre la paix et la conquête se tient la victoire, à la fois l'un et l'autre, à la fois ni l'un ni l'autre. Il fait office de douces paroles lorsque le conflit devient trop grand, entre ces âmes qui s'épuisent ensemble.
infos ; neutre, faceclaim au choix.
point chronologie
1545 — guerre entre dans la constellation en tant qu'aster.
1558 — guerre prend la place de supernova.
1686 — guerre donne naissance à un fils, amenant les réjouissances au sein de la constellation.
1696 — guerre rejoint les révolutionnaires.
1715 — guerre fonde le black mars.
1728 — guerre manque de se faire tuer. elle sera soignée puis couronnée par mars lui-même auprès des révolutionnaires.
1892 — guerre donne naissance à celle qui deviendra révolte.
1946 — l'étoile filante qui deviendra révolte meurt sous le joug des traditionalistes.
2015 — révolte revient en tant qu'aster et rejoint définitivement la constellation.
ps; vous l'aurez remarqué, il s'agit avant tout d'une ambiance générale à la constellation, formée de concepts qui s'opposent et s'unissent, d'une atmosphère particulière dans le fonctionnement des guerrier.es, notamment via leur ambivalence. n'hésitez pas à me demander des informations supplémentaires, ou à simplement venir me proposer votre version, votre idée, vendez-moi votre rêve. 
ps bis; les concepts sont négociables, tant qu'ils rejoignent l'idée qu'ils imposent.
(2/5) personnages pris, négociations open.
Intrinsèquement lié.es au fléau de la guerre , c'est sous leur armure que les guerrier.es se présentent, uni.es dans leurs synapses pour oeuvrer au nom de Mars . Le bon, le mauvais, une grosse soupe d'ordures et de merveilles qui se promettent vermeil ou poison.
La tête de l'hydre depuis trop de siècles, jonchant la constellation d'un paradoxe infini, ses pensées sont fouillis permanent et paradoxes incessants. Tantôt soeur tantôt mère, tantôt rêve tantôt cauchemar, intraitable lorsqu'il s'agit de rendre grâce à celui qui leur a donné (nouvelle) vie.
Enfant de la guerre, née pour suivre les pas de celleux qui prennent les armes. Formatée pour rejoindre une cause qu'elle embrasse sous l'aurore sanglante de sa mère. Le deuil d'un frère a fendu l'âme en deux.
Ombre de la guerre, l'ambition qui se gangrène sous le derme, une utopie rouge, pourfendue de souffrances. Le pas vers l'horreur, celui qui creuse les tranchées, qui fermente sur le cuir de celleux qu'il ensevelit. Déraison personnifiée.
Lumière du champ de bataille, souffle de calme lorsque les épées ne percent plus les boucliers. La splendeur des compromis et la caresse d'une brise sereine. Le pas vers la splendeur, celui qui serre la main de l'ennemi.e, qui pardonne et presque oublie.
Le pont entre les opposé.es, entre la paix et la conquête se tient la victoire, à la fois l'un et l'autre, à la fois ni l'un ni l'autre. Il fait office de douces paroles lorsque le conflit devient trop grand, entre ces âmes qui s'épuisent ensemble.
Anke Feuerhart
pseudo : dysnomia (dysnomia#1650)
élu.e de mars
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